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groupe tva, TRIMESTRE SE TERMINANT LE 30 SEPTEMBRE 2013

GROUPE TVA ENREGISTRE UN BÉNÉFICE NET ATTRIBUABLE AUX ACTIONNAIRES DE 6,3 MILLIONS DE DOLLARS POUR LE TRIMESTRE SE TERMINANT LE 30 SEPTEMBRE 2013.

Montréal, Canada – Groupe TVA inc. (la « Société ») annonce qu’elle a enregistré un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 6,3 millions de dollars, soit 0,27 $ par action, au cours de son troisième trimestre de l’exercice 2013 comparativement à un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 1,5 million de dollars ou 0,06 $ par action au trimestre correspondant de 2012.

Faits saillants liés à l’exploitation du troisième trimestre :

Bénéfice d’exploitation consolidé de 18 401 000 $, soit une croissance de 8 060 000 $ (+ 77,9 %);

Bénéfice d’exploitation du secteur de la télévision de 14 658 000 $, soit une croissance de 6 607 000 $ (+82,1 %) expliquée principalement par :

  • la comptabilisation d’une rétroactivité de 6 841 000 $ relativement aux redevances liées à la retransmission de signaux éloignés pour les années 2009 à 2012 et les deux premiers trimestres de 2013;
     
  • l’amélioration des résultats d’exploitation des services spécialisés notamment « addik TV », « CASA » et « TVA Sports »;

compensées en partie par :

  • la baisse du bénéfice d’exploitation relié à la production commerciale compte tenu d’un niveau d’activités moindre.

Bénéfice d’exploitation du secteur de l’édition de 3 743 000 $, soit une hausse de 1 453 000 $, expliquée principalement par :

  • l’ajout favorable des résultats d’exploitation du magazine « La Semaine » depuis le 18 juillet 2013;
     
  • les réductions de coûts reliées au plan de rationalisation instauré au second trimestre de 2013; et
     
  • l’apport des activités accrues de TVA Studio durant le trimestre.

« En plus de la rétroactivité des redevances relatives à la retransmission des signaux éloignés, les résultats du dernier trimestre ont également connu une amélioration du bénéfice d’exploitation. Cette performance n’aurait pas été possible sans les économies opérationnelles réalisées et résultant, entre autres, de nos investissements des dernières années dans les équipements et infrastructures technologiques. En télévision, les revenus publicitaires du Réseau TVA ont connu un recul de 7,9 % durant le dernier trimestre alors que les services spécialisés ont poursuivi leur bonne performance avec des croissances de 6,6 % des revenus publicitaires et de 9,8 % des revenus d’abonnement,» a commenté monsieur Pierre Dion, président et chef de la direction de la Société.

« Le secteur de l’édition a connu une croissance remarquable de son bénéfice d’exploitation comparativement au trimestre correspondant de 2012. L’inclusion des résultats d’exploitation du magazine « La Semaine » acquis le 18 juillet 2013 a contribué significativement à cette croissance en plus des réductions de coûts réalisées chez TVA Publications depuis le second trimestre de 2013. D’ailleurs, l’intégration des opérations de cette acquisition aux opérations existantes de TVA Publications se poursuivra durant le quatrième trimestre. En excluant cette acquisition, les baisses enregistrées des revenus en kiosque (-3,6 %) et des revenus publicitaires (-5,6 %) pour le troisième trimestre ont été moindres que celles connues pour les deux premiers trimestres de 2013. Ces résultats reflètent nos efforts d’amélioration de nos produits et de mise en marché déployés depuis le début de l’année financière, » a conclu monsieur Pierre Dion.

Les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation ont été de 13,0 millions de dollars au troisième trimestre 2013 comparativement à 18,3 millions de dollars pour le trimestre correspondant de 2012. Cette baisse de 5,3 millions de dollars s’explique essentiellement par l’écart défavorable de la variation nette des éléments hors liquidités, notamment au niveau des débiteurs et des émissions, droits de diffusion et de distribution et stocks, compensé en partie par l’amélioration du bénéfice d’exploitation.

Définition

Bénéfice ou perte d’exploitation

Dans son analyse des résultats d’exploitation, la Société définit le bénéfice (la perte) d’exploitation comme le bénéfice net (la perte nette) avant l’amortissement des immobilisations et actifs incorporels, les charges financières, les frais de rationalisation des activités d’exploitation, dépréciation d’actifs et autres, la dépréciation de l’écart d’acquisition, le gain sur disposition de placements, la dépense d’impôts, la part de la perte (du bénéfice) dans les entreprises associées et les coentreprises et la perte nette attribuable à la participation ne donnant pas le contrôle. Le bénéfice (la perte) d’exploitation, tel(le) que défini(e) ci-dessus, n’est pas une mesure des résultats définie conformément aux Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Ce n’est pas non plus une mesure destinée à remplacer d’autres outils d’évaluation du rendement financier ou l’état des flux de trésorerie comme indicateur de liquidité. Cette mesure ne représente pas les fonds disponibles pour le service de la dette, le paiement de dividendes, le réinvestissement ou d’autres utilisations discrétionnaires, et ne devrait pas être considérée isolément ou comme substitut aux autres mesures de rendement calculées selon les IFRS. La direction estime que le bénéfice (la perte) d’exploitation est un instrument utile d’évaluation du rendement.

La direction et le conseil d’administration de la Société utilisent cette mesure pour évaluer tant les résultats consolidés de la Société que les résultats des secteurs d’exploitation qui en font partie. De plus, des mesures comme le bénéfice (la perte) d’exploitation sont fréquemment utilisées par la communauté financière pour analyser et comparer le rendement d’entreprises dans les secteurs où la Société est active. Signalons que la définition du bénéfice (de la perte) d’exploitation adoptée par la Société peut différer de celle d’autres entreprises.

Mise en garde concernant l’information prospective

Les énoncés figurant dans le présent communiqué de presse qui ne sont pas des faits historiques peuvent constituer des énoncés prospectifs assujettis à des risques, à des incertitudes et à des hypothèses importantes connus et inconnus qui sont susceptibles d’entraîner un écart important entre les résultats réels de la Société dans des périodes futures et ceux qui figurent dans les énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs sont généralement reconnaissables à l’utilisation du conditionnel, expressions prospectives comme « proposer », « s’attendre à », « pouvoir », « anticiper », « avoir l’intention  de », « estimer que », « prévoir », « désirer » ou « croire » ou la tournure négative de ces expressions ou de leurs variantes ou toute terminologie similaire. Au nombre des facteurs pouvant entraîner un écart entre les résultats réels et les attentes actuelles figurent la saisonnalité, les risques d’exploitation (y compris les mesures relatives à l’établissement des prix prises par des concurrents), le risque lié aux coûts de contenu de la programmation et de production, le risque de crédit, les risques associés à la réglementation gouvernementale, les risques associés à l’aide gouvernementale, aux effets de la conjoncture économique et de la fragmentation du paysage médiatique ainsi que les risques liés aux relations de travail. Les investisseurs et autres personnes devraient noter que la liste des facteurs mentionnés ci-dessus, qui sont susceptibles d’influer sur les résultats futurs, n’est pas exhaustive et éviter de se fier indûment à tout énoncé prospectif. Pour de plus amples renseignements sur les risques, incertitudes et hypothèses susceptibles d’entraîner un écart entre les résultats réels de la Société et les attentes actuelles, veuillez vous reporter aux documents publics déposés par la Société qui sont accessibles à www.sedar.com et http://groupetva.ca y compris, en particulier, à la section « Risques et incertitudes » du rapport de gestion annuel de la Société pour l’exercice terminé le 31 décembre 2012.

Les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse reflètent les attentes de la Société au 5 novembre 2013 et sont sous réserve de changements pouvant survenir après cette date. La Société décline expressément toute obligation ou tout engagement de mettre à jour ces énoncés prospectifs, que ce soit en raison de nouveaux renseignements ou d’événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, à moins que les lois sur les valeurs mobilières applicables le requièrent.

Groupe TVA

Groupe TVA inc., filiale de Québecor Média inc., est une entreprise de communication intégrée active dans la création, la production, la diffusion et la distribution de produits audiovisuels ainsi que dans l’édition de magazines. Groupe TVA inc. est la plus importante entreprise de diffusion d’émissions de divertissement, d’information et d’affaires publiques et d’édition de magazines de langue française en Amérique du Nord et une des plus grandes entreprises privées de production. Ses actions classe B sont cotées à la Bourse de Toronto sous le symbole TVA.B. 

Source :
Denis Rozon, CPA, CA
Vice-président et chef de la direction financière
(514) 598-2808